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Keke Palmer sera la vedette d’une série télévisée basée sur le classique de 1989 de Joe Dante « Les Banlieusards »

Peacock a commandé la série Les Banlieusards (The burbs) pour la télévision, Celeste Hughey adaptera le film de Dante.

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Keke Palmer (Nope) a été choisie pour jouer le rôle principal dans l’adaptation par Peacock de la comédie noire bien-aimée de Joe Dante, The ‘Burbs (Les Banlieusards) qui devrait être diffusée pour la première fois sur les petits écrans.

Selon Variety, Peacock a commandé la série The ‘Burbs. Pour la télévision, Celeste Hughey (« Palm Royale », « Dead to Me » et « High Fidelity ») adaptera le film de Dante.

Voici un passage particulièrement intéressant du rapport du site web : « Comme le film, la série sera tournée sur le site des studios Universal. Le résumé officiel de la série annonce…

« The ‘Burbs », qui se déroule dans une banlieue contemporaine est centré sur un jeune couple qui visite la maison d’enfance du mari.

« Lorsque de nouveaux voisins emménagent à côté, ils découvrent des secrets longtemps gardés sur le cul-de-sac et menacent de détruire l’illusion de leur petit quartier paisible, bouleversant leur monde tout entier ».

Brian Grazer et Seth MacFarlane d’Imagine Entertainment assureront la production exécutive. En plus de jouer, Keke Palmer est productrice exécutive.

Tom Hanks, Carrie Fisher, Bruce Dern, Rick Ducommun et Corey Feldman sont apparus dans le film original de Joe Dante qui mettait en scène un banlieusard stressé et ses voisins qui commencent à croire que la nouvelle famille de la rue est membre d’un culte satanique mortel.

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Tom Hanks, Corey Feldman, Bruce Dern, Rick Ducommun, Wendy Schaal, & Darla dans Les Banlieusards (1989)

Joe Dante avait déjà réalisé des comédies d’horreur ; The Howling (1981), Gremlins (1984) et Piranha (1978) en font certainement partie, mais The ‘Burbs était quelque chose de différent », a déclaré l’auteur. Il s’agit principalement d’une comédie, pleine d’humour absurde souvent exagéré, où l’horreur s’entremêle comme les fils sinistres d’une tapisserie, ce qui donne au film une personnalité tout à fait propre.