“Salle d’Autopsie Quatre” une nouvelle de Stephen King qui fera l’objet d’une adaptation cinématographique

Le projet que Ranjeet S. Marwa écrira et réalisera a reçu l'approbation de King lui-même.

Stephen King, auteur prolifique de romans d’horreur est la source d’inspiration d’un nouveau long métrage qui sortira prochainement. Selon un rapport publié aujourd’hui par Deadline, le réalisateur britannique Ranjeet S. Marwa et Jon Levin (In the Tall Grass), un cadre expérimenté d’Hollywood adaptent la nouvelle Autopsy Room Four (Salle d’autopsie quatre) de King.

Tournage du film Autopsy Room Four (2003)

Le projet que Marwa écrira et réalisera a reçu l’approbation de King lui-même.

Salle d’autopsie quatre plongera dans l’esprit d’un homme qui se réveille pour se retrouver piégé dans une salle d’autopsie après un accident qui a mis sa vie en danger . Le récit explore les thèmes de la terreur, de la survie et de l’inconnu alors que l’homme est confronté à sa propre mortalité.

La nouvelle elle-même a été publiée pour la première fois dans Six Stories de King en 1997. La même année, elle a été incluse dans le recueil Psychose de Robert Bloch.

Autopsy Room Four (2003)

Il est intéressant de noter qu’il ne s’agit pas de la première adaptation de la nouvelle. Au cours de l’été 2006 la nouvelle a été diffusée dans l’émission Nightmares & Dreamscapes : From The Stories Of Stephen King.

Comme Alex DiVincenzo l’a indiqué précédemment, « Salle d’Autopsie Quatre», sans doute l’épisode le plus captivant de Nightmares & Dreamscapes, est basé sur la nouvelle de 1947 « Breakdown » de Louis Pollock. Dans cette nouvelle, un homme (Richard Thomas qui a joué le rôle de Bill adulte dans le film Ca en 1990) est emmené à la morgue pour une autopsie après avoir été déclaré mort mais toujours conscient. Il est totalement immobile et pourtant capable de penser et de ressentir puisqu’il est enfermé dans sa propre tête. Thomas reconstitue les événements qui ont conduit à la mort présumée du personnage en racontant son monologue intérieur. Salomon adopte un sens de l’humour noir sans compromettre le suspense lorsqu’il met en scène une histoire de Smith.

En d’autres termes, ce court métrage peut offrir un divertissement véritablement palpitant et effrayant mais que les claustrophobes se méfient.

Six Stories Stephen King

Nous y reviendrons très prochainement …

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